Chapitre 2 : Découverte de l’acupuncture territoriale
Dans les années 1970, des archéologues ont découvert un tombeau de l’an 168 avant JC (Dynastie Han Occidentale), à Mawangdui, près de la ville de Changsha, le chef-lieu de la province Hunan.
Dans ce tombeau reposait un maître, identifié plus tard comme Maître Shuï (en Chinois traditionnel 水, signifie Eau). Ce personnage s’avère être l’un des pionniers de l’acupuncture et de l’acupuncture territoriale en particulier.
Dans ce même tombeau, des parchemins en tissus ont été retrouvés et sont considérés aujourd’hui comme le premier traité d’acupuncture territoriale. Il décrit le fonctionnement du territoire comme un corps humain. Les montagnes sont les "têtes" de bassin versant, la peau est l’épiderme de la terre, le cycle de l’eau est le flux sanguin avec toutes ses arborescences. Dans ce traité d’acupuncture territoriale où le bassin versant est décrit comme un véritable "corps pays", l’auteur évoque l’existence probable des géants bleus et relate une rencontre avec un petit géant bleu remontant le bassin versant de la rivière Xiangjiang.
Dans ce tombeau reposait un maître, identifié plus tard comme Maître Shuï (en Chinois traditionnel 水, signifie Eau). Ce personnage s’avère être l’un des pionniers de l’acupuncture et de l’acupuncture territoriale en particulier.
Dans ce même tombeau, des parchemins en tissus ont été retrouvés et sont considérés aujourd’hui comme le premier traité d’acupuncture territoriale. Il décrit le fonctionnement du territoire comme un corps humain. Les montagnes sont les "têtes" de bassin versant, la peau est l’épiderme de la terre, le cycle de l’eau est le flux sanguin avec toutes ses arborescences. Dans ce traité d’acupuncture territoriale où le bassin versant est décrit comme un véritable "corps pays", l’auteur évoque l’existence probable des géants bleus et relate une rencontre avec un petit géant bleu remontant le bassin versant de la rivière Xiangjiang.